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Longtemps je me suis demandée pourquoi la disparition de certains artistes provoquait une tristesse si particulière, comme un sentiment qu’une partie de moi s’échappait après leur mort. Certes j’aimais leur travail, parfois énormément, parfois beaucoup moins, mais la nature de l'émotion qui m’habitait alors était toujours intime et mystérieuse. Jusqu’à ce que je comprenne qu’ils étaient tous vraiment mes contemporains, qu’ils faisaient partie de « mon époque », c’est-à-dire de ma jeunesse. Même si ils étaient plus âgés, j’avais grandi avec eux, ma cinéphilie s’était construite de leurs films, mon amour du cinéma de ces visages d’actrices et d’acteurs sur grand écran, de ces corps évoluant sur la toile, mis en scène sublimement.
Ceux que l’on appelait « Les Straub » font partie de ces cinéastes perdus. Danièle Huillet est décédée en 2006 et Jean-Marie Straub nous a quitté en fin d’année dernière. Nous leur rendons hommage dans ce programme avec plusieurs films restaurés. En ouverture du cycle, Ciné classic, le réalisateur Jean-Charles Fitoussi viendra nous expliquer le 16 février en quoi « ces artisans du cinéma » comme ils aimaient se qualifier, ont posé une pierre fondamentale dans l’histoire du 7e art et ont marqué leur époque.
Il est aussi question de création et d’amour dans nos deux films coups de cœur de février : La femme de Tchaïkovski de Kirill Serebrenikov, (Leto et La fureur de Petrov) dévoile le destin tragique de l’épouse du compositeur russe, éperdument éprise de son mari, en pure perte. Et le très bel opus de Hong Sansg Soo, La romancière, le film et le heureux hasard. Comme dans l’interprétation d’un rêve, le cinéaste rêveur, livre au travers de tous ses personnages sa définition secrète du cinéma, des affres de la création, entremêlées à la vie qui passe et au sentiment amoureux.
Dans un tout autre genre, nous sommes heureux de retrouver le grand cinéma américain de Steven Spielberg, The Fabelmans. Nous sommes impatients de recevoir Marie-Monique Robin pour La fabrique des pandémies : discussions enflammées comme on les aime dans la salle, garanties ! Ou encore toutes les propositions variées, concoctées par Emilie Desruelles, pour les vacances de février. Au programme, des films familiaux (Astérix et l’empire du milieu), l’aventure à Mexico (Louise et la légende du serpent à plumes), une expédition au Pôle Nord (Titina) et le compagnonnage des animaux qui feront fondre les enfants et leurs parents !
Alors en route vers le Ciné 104 pour se construire ensemble un univers de films communs et constituer « notre époque » de demain !
Anne Huet, directrice du Ciné 104
Une ordonnance de la Préfecture de Paris datant de 1927 interdisait l'accès au cinéma aux enfants de moins de 3 ans. Depuis 2007, les choses ont changé : cette ordonnance a été abrogée par un arrêté paru dans le Bulletin municipal officiel de la ville de Paris. Le cinéma n'est plus interdit aux enfants de moins de 3 ans par la loi.
C’est donc la salle de cinéma qui fixe l’âge de début d’accès par son règlement intérieur. Au Ciné 104, l’accueil des enfants est possible à partir de 2 ans. En dessous de cet âge, la présence des enfants dans la salle de cinéma est interdite par le règlement du cinéma, en raison du volume sonore, nuisible aux oreilles des très jeunes enfants et pour le confort des autres spectateurs des séances.
Seule exception à cette règle : « les séances bébés bienvenus »
Celles-ci sont organisées par le Ciné 104, avec des films destinées aux adultes et un volume sonore amoindri. Ces séances sont accessibles sous certaines conditions : les bébés de plus de 7 mois ne sont pas acceptés, les poussettes et les cosis doivent restés à l’extérieur de la salle et les bébés être dans les bras des parents pendant la projection.
Le Ciné 104 porte une attention particulière à l’accueil du jeune public et indique dans son programme un âge conseillé pour chaque film présenté. Pour être sûr que votre enfant profitera pleinement de la séance, nous vous recommandons de respecter à minima l’âge indiqué dans notre programme.
Cependant, chaque enfant étant différent, nous vous conseillons de regarder la bande-annonce du film et de vous renseigner pour savoir si la proposition est adaptée pour votre enfant, afin que ses premiers pas vers la salle de cinéma soit une expérience positive.
Emilie Desruelle
Responsable Education à l’image du Ciné 104
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